Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 10 ans
Les Pénitences De Janice
Auteur : henri.loue
Janice Simson a été, nous l'avons vu, la première femme à bénéficier du "savoir-faire" du Maître. Dans ses cahiers, Peter relate de nombreuses séances subies par cette femme. A leur lecture, nous nous apercevons vite qu'il s'est établi entre eux de profonds liens et une grande complicité. Janice s'éprit passionnément pour son Maître et plus elle se donnait à lui, plus il lui imposait des séances de pénitences difficiles. Jack, le mari, ne fut pas trompé, puisqu'il consentit à la liaison et participa même à plusieurs séances durant lesquelles la jeune femme se donna, sexuellement, aux deux hommes. Parmi les nombreuses épreuves qui furent imposées à cette femme, nous notons que l'une d'entre elle lui était infligée régulièrement : le lavement. Si, avant de faire connaissance avec Peter, elle avait subi des lavements, ceux-ci avaient été très raisonnables quant aux quantités administrées. Les plus importants n'avaient, en effet, jamais dépassé un litre et demi d'eau tiède. Le maître de pénitence, ayant bien compris que Janice redoutait particulièrement ce traitement, ce fit un plaisir de le lui imposer régulièrement. Sa première grande pénitence par cette méthode est très précisément consignée dans les cahiers en notre possession. Il avait été convenu qu'elle passerait une journée complète chez Peter car il fallait du temps pour mener à bien la séance qu'il avait imaginé et parce que l'endroit été parfaitement aménagé. Au jour convenu, la calèche conduite par Jack Simson s'immobilisa devant le pavillon du maître vers huit heures du matin. Jack déposa Janice, prit le temps de saluer son ami Peter, puis repartit sans plus attendre, indiquant qu'il viendrait la rechercher vers dix-neuf heures le soir même.
- Alors ma chère Janice, êtes-vous prête à faire des efforts pour accepter ce qui vous attend ?
- Vous le savez bien. Vous savez que je vous appartiens et que j'accepterai tout ce que vous désirerez me faire subir.
- C'est bien. Avez-vous fait ce que je vous ai demandé ?
- Oui, hier soir j'ai eu pour seul repas un bol de thé au lait, puis Mary, ma servante m'a administré un lavement d'un litre que j'ai gardé une demi-heure avant de le rejeter. Aujourd'hui, j'ai simplement pris un verre d'eau sucrée avant de venir.
- Bon. Ce matin nous allons vous préparer par des injections multiples, puis vous aurez droit à un peu de repos et cet après-midi, je vous administrerai un lavement beaucoup plus important que ceux que vous avez subi jusqu'alors. Cela ne sera pas très agréable car votre intestin n'est pas encore habitué à ce genre de traitement, mais il faut bien commencer un jour ! Il vous faudra faire des efforts. Y êtes-vous prête ?
- Oui Peter, je suis prête. J'ai très peur de ce que vous allez me faire subir, mais je suis là pour m'en remettre à votre volonté et faire pénitence. Le maître avait recouvert un lit à l'aide d'une alaise en latex. Il y fit allonger la belle pénitente après l'avoir déshabillée lui-même car il y prenait beaucoup de plaisir. Couchée sur le côté droit, elle offrit sa rosette à la canule. Peter ouvrit le robinet d'arrêt et le liquide tiède commença à envahir le ventre à supplicier. Il lui injecta un litre et demi d'eau qu'il lui ordonna de conserver une demi-heure. Plusieurs fois elle le supplia de l'autoriser à aller aux toilettes pour se libérer. Mais il fut impitoyable jusqu'au bout, ne tenant aucun compte des demandes répétées de Janice. Celle-ci faisait de gros efforts pour retenir le liquide en elle, car elle aurait eu honte d'en rejeter une partie sur le lit. Enfin il consenti à la laisser s'installer sur le seau hygiénique destiné à recueillir le liquide souillé. Elle ne se fit pas prier et, sans pudeur, se libéra à grands flots devant son maître et bourreau. Il vit qu'elle frissonnait, aussi il lui fit enfiler un chaud pull-over. Un moment plus tard elle était, de nouveau, sur le lit pour y subir une nouvelle injection.
- Cette fois, vous allez prendre deux litres. Maintenant que vous vous êtes libérée des excréments qui encombraient encore votre colon, cela ne devrait guère poser de problèmes.
- Oh non, c'est trop, c'est beaucoup trop !
- Si vous trouvez que deux litres c'est trop, je me demande quel qualificatif vous allez employer cet après-midi, car une quantité encore plus importante vous attend.
- Mon Dieu ! ce n'est pas possible ! Je ne pourrai jamais !
- Mais si, vous y arriverez. C'est pour cela qu'il faut bien vous préparer. Montrez-vous, je vais vous placer une sonde profonde. Ce sera mieux pour une injection de cette importance. Peter lui enfonça une sonde de caoutchouc de cinquante centimètres dans le colon. La progression de l'objet ne se fit pas sans quelques difficultés. Parfois le bout de la sonde butait contre la paroi intestinale provoquant des douleurs vives. Il s'agissait alors de provoquer un mouvement giratoire à la sonde qui forçait alors le passage, non sans arracher quelques gémissements ou quelques cris à la suppliciée. Bientôt, elle fut reliée au tuyau du bock et une nouvelle injection commença. Si le premier litre ne posa pas de gros problèmes, le second fut un véritable supplice.
- Arrêtez ! pitié ! Je vais rejeter... Je n'en peux plus...
- Retenez-vous Janice, je vous en prie, faites des efforts. Le liquide, en remontant profondément dans les intestins, provoquait des coliques douloureuses difficiles à supporter. Heureusement, ces douleurs n'étaient pas constantes et Janice bénéficiait parfois de courts instants de répit avant qu'une nouvelle douleur n'intervienne. Néanmoins, à force d'efforts et d'encouragements, elle reçut les deux litres prévus. Peter prolongea son supplice en obligeant la jeune femme à garder le lavement dix minutes. Durant la matinée, Janice subit encore deux autres injections de deux litres. A plusieurs reprises elle supplia son bourreau d'arrêter, mais elle ne fut pas écoutée. Après le dernier lavement préparatoire, vers 11 heures, il lui fit quelques recommandations.
- Vous recevrez le lavement final vers 15 heures. Vous avez plusieurs heures pour rejeter et vous reposer. Cette fois, ne cherchez pas à retenir la moindre goutte. Il faut que votre ventre soit parfaitement vidé afin de mieux supporter l'injection. N'hésitez pas à marcher dans la maison. Cet exercice est très efficace pour faire descendre le liquide. Janice suivit les conseils que lui avait donnés son maître afin de se préparer, au mieux, à sa future épreuve. Puis, fatiguée, elle s'endormit sur un divan. Elle fut réveillée par le tintement de la clochette de la porte d'entrée. Janice, inquiète de cette visite inattendue, voulut se réfugier dans une chambre mais Peter lui ordonna de rester sur le divan.
- Mais je suis à moitié nue.
- Ne vous tourmentez pas. Il n'en dit pas plus et alla ouvrir la porte. Janice, en voyant entrer une religieuse, se sentit très gênée et humiliée d'être vue ainsi, à moitié nue.
- Janice, je vous présente soeur Sainte Blandine, la mère supérieure d'un couvent de la région. Je m'occupe régulièrement des religieuses placées sous son autorité et je lui ai demandé de m'assister car elle a une grande expérience des lavements. Janice était troublée car elle pensait que la séance se passerait sans témoins. Mais maintenant elle comprenait qu'il n'y aurait ni échappatoire, ni pitié. La religieuse posa et ouvrit un grand sac. Elle en sortit un énorme bock et l'exhiba, comme pour mieux effrayer la pénitente.
- Voici maître. J'ai apporté, comme prévu, un bock de quatre litres ainsi que la canule que vous m'avez demandée.
- Merci ma Mère. Janice restait sans voix. Le maître avait en main une canule rigide qui comportait, à quelques centimètres de son extrémité, un gros renflement en forme d'olive ou plutôt, vu sa taille, de citron.
- Mais Peter, cette canule est bien trop grosse... et ce bock... vous n'allez pas... vous ne pouvez pas faire pénétrer quatre litres d'eau dans mon ventre... Il éclatera...
- Ecoutez-moi, Janice. Cette canule est faite de façon à rester en place dans votre fondement, même si vous cherchez à l'expulser. Donc, vous ne pourrez rejeter que lorsque nous le déciderons. En effet, l'olive obstruant votre rectum interdit tout rejet intempestif. Faites-nous confiance. Vous allez souffrir, c'est vrai. Je ne cherche même pas à vous le cacher, mais je vous promets que vous ne risquez rien. La religieuse s'assit à côté de Janice, lui prit une main et lui parla avec douceur.
- Mon enfant, je sais que vous êtes une adepte de la pénitence physique et je vous en félicite. Je vous demande d'être courageuse et d'offrir votre souffrance à Dieu. J'inflige régulièrement des lavements purificateurs à mes religieuses. J'ai une très grande pratique de cette épreuve et je vous assure que, si vous m'écoutez, il n'y aura pas d'accident fâcheux.
- Mais, ma mère, j'ai déjà beaucoup de difficultés à recevoir une injection de deux litres ! Comment voulez-vous... quatre litres c'est trop...
- Nous allons, effectivement, mettre quatre litres d'eau tiède dans le récipient, mais ce n'est pas pour çà que vous recevrez forcément la totalité. Je vous surveillerai et si je juge que la tension de votre abdomen est trop importante, je n'hésiterai pas à interrompre votre traitement. Je vous en prie, faites-moi confiance, je vous le demande. Cette fois, Janice accepta. Pâle et tremblante elle suivit ses bourreaux dans la salle spécialement aménagée pour cette épreuve. Elle reçut l'ordre de se déshabiller entièrement et de se coucher sur une table. -Relevez les jambes, s'il vous plaît. La pénitente exécuta l'ordre donné par le Maître. La Supérieure lui maintenait les jambes bien écartées. Peter avait lubrifié abondamment la canule et la présenta à l'entrée de la petite rosette anale. Il s'y reprit à plusieurs fois pour enfoncer l'instrument. L'olive de cinq centimètres de diamètre n'arrivait pas à franchir l'entrée de l'étroit orifice. Janice laissa échapper plusieurs cris incontrôlés et se mit à pleurer. Enfin, la canule s'infiltra dans le rectum, l'obstruant parfaitement. Pour la jeune femme, cette préparation était déjà un vrai supplice. La religieuse lui demanda de poser ses pieds sur la table en conservant les genoux repliés, puis elle lui attacha les bras en croix. Pendant ce temps, le maître avait rempli le bock et l'avait installé sur une potence placée à proximité de la table de supplice. Relier le tuyau du bock à la canule ne prit que quelques secondes. Le liquide commença à s'écouler dans le ventre de la suppliciée. La religieuse prodiguait de judicieux conseils à Janice.
- Respirez calmement, ma fille. Ne contractez pas votre ventre. Laissez-vous aller. Janice essayait d'appliquer les conseils qui lui étaient donnés. Elle voyait le niveau d'eau du bock baisser régulièrement. Après un litre et demi d'injection elle sentit son ventre devenir lourd. A deux litres elle commença à se plaindre.
- J'ai mal... oh j'ai mal... arrêtez. Le maître coupa l'arrivée d'eau quelques instants.
- Respirez calmement, l'eau va remonter profondément dans votre ventre et vous allez pouvoir en prendre un peu plus.
- Oh... mais j'ai trop mal. Un instant plus tard, le supplice reprenait son cours normal. L'olive empêchait tout rejet. Le ventre de Janice était maintenant nettement gonflé. Des larmes coulaient sur les joues de la jeune femme.
- C'est bien, vous allez arriver à trois litres.
- Je vous en supplie, arrêtez-vous à trois litres. Ne continuez pas.
- Nous allons faire une pause, puis nous continuerons.
- Oh non, pitié, ne continuez pas. Mettez fin à mon épreuve. Les espoirs de Janice furent vains. Peter suréleva le bock afin que l'eau s'écoule mieux. Des douleurs profondes et lancinantes parcouraient le ventre supplicié. Le robinet avait été rouvert et le niveau des trois litres avait été dépassé. De violentes coliques comprimaient son estomac. La douleur s'accompagnait d'une désagréable sensation de malaise. Après avoir passé trois litres et demi, Janice ne put retenir quelques haut-le-coeur. La religieuse lui massa doucement le ventre en l'encourageant.
- Respirez doucement. Vous êtes presque au bout. Faites encore un petit effort. Je suis sûre que vous pouvez y arriver. Si vous ne contrôlez pas vos envies de vomir, vous risquez de vous faire mal inutilement. Janice ne répondait pas, mais elle faisait des efforts pour se retenir.
- Vous avez pris trois litres trois quart. Un dernier effort. Nous n'allons pas abandonner si près du but. Peter pris le bock à bout de bras et le souleva le plus haut possible. Le peu d'eau qui restait disparut dans le ventre enflé et dilaté. Sans plus attendre, la religieuse aida Janice à expulser la canule après avoir placé un grand baquet au pied de la table. Des flots jaillirent, Janice n'essayait même pas de se contrôler. Pendant de longues minutes, elle se vida. L'eau coulait en jets saccadés et intermittents. Lorsqu'elle fut détachée elle était sans forces. On la coucha dans une chambre où elle se reposa jusqu'à ce que son mari vienne la chercher vers dix-neuf heures, comme prévu. Jamais elle n'aurait pensé pouvoir recevoir une si grande quantité de liquide dans son intestin.
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